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12 janvier 2009

A qui la faute ? 

Notre civilisation joue avec le feu ; c’est bien le cas de le dire.

Elle pollue de mille façons et nous rend complices de ses méfaits.

Cette grande dame qui feint de tout savoir, de tout prévoir et de ne pas se tromper, a généré des industries, des techniques et des instruments que nous sommes dans l’obligation d’utiliser et de subir. Au siècle des lumières a succédé celui des éblouissements face à des réalisations fantastiques qui ont bousculé la façon de vivre de la majeure partie de l’humanité. Quels progrès !  Quel bonheur pour tous !

J’ai en mémoire des récits du début du vingtième siècle. Paris ville lumière. Le cheval fait place à la voiture automobile. Les théâtres, les lieux de divertissements, les fêtes sont les temples des rires et de la joie de vivre. Le champagne, Lautrec, les Champs Elysées; en un mot « la Belle Epoque ».

Mais ces cadeaux de la science n’étaient offerts qu’à une minorité. Les autres, beaucoup d’autres, vivaient dans des conditions que nous jugerions aujourd’hui inacceptables : enfants au travail, misère, maladies, durée du travail souvent dans des conditions très pénibles, etc.

Les temps ont changé, mais toujours pas pour tous. Les industries se sont développées et leurs pollutions également. Pour des raisons économiques elles continuent malgré les réunions et les « parlotes » qui donnent bonne conscience aux responsables politiques.

Les industries seraient-elles responsables de ce curieux réchauffement ?  Ou s’agit-il de phénomènes cycliques que notre planète a déjà connus ?

09:05 Publié dans Web | Lien permanent | Commentaires (0)

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